Résumé: The manufactured nanoparticles used in the treatment of the agricultural soils, present an impact on the human health since their residues were found to be transferred into the food chain via plants. The present work was carried out in order to evaluate the effect of some nanoparticles on a plant bean, Phaseolus vulgaris, widely consumed by humans via a chronic treatment with titanium dioxide (TiO2) (40 mg / l) and silica dioxide (SiO2) (30 mg/l) separately and in mixture with or without earthworms. At first we made a half of the seeds of bean seeds "Phaseolus vulgarisL." variety MGT NELSON under optimal conditions of humidity and temperature (25-26° C), with a watering every other day using distilled water for a period of 25 days, beyond is the treatment for a period of 20 days every other day alternating with distilled water. Tests and measurements were carried out on the soil, the plant and the earthworm: An analysis of some physico-chemical determinants of soil: pH, electrical conductivity, and cation content. Several analyzes and assays carried out on the roots and leaves of plants treated or not namely, a total protein assay, soluble sugar levels, quantification of polyphenols, catalase activity and chlorophyll content associated with this a statistical study and a histological study. A final part concerns some analyzes on this earthworm, the protein content, lipid and carbohydrate levels, CAT activity, as well as a statistical study and a histopathological study. The obtained results show a significant disturbance at the level of treated plants lightened by the presence of earthworms, since the histological study confirms it by the reduction of its sieve-vascular system. While for earthworms the presence of oxidative stress which results in the damage observed in the epidermis and the intestinal tissue studied. Key words: NPs, Phaseolus vulgaris L., soil, Aporrectodea calignosa, interaction, stress.

Résumé: New information on the diversity of lichen flora of the Edough Peninsula in Algeria is presented and analysed. This study aimed to estimate the diversity of corticolous lichens on the rhytidome of Quercus suber L. in the district of Seraïdi, Annaba town, which is situated in north-eastern Algeria. During this study, nineteen species new to the Edough Peninsula were identified. Two species of the Pannariaceae family, Pectenia plumbea (Lightf.) P.M. Jørg, L. Lindblom, Wedin & S. Ekman and Fuscopannaria leucosticta (Tuck.) P.M. Jørg., are rare in the region. Pectenia plumbea is a new species to the region, whereas Fuscopannaria leucosticta is new to the region and, after a long time, was rediscovered in Algeria

Résumé: Dans cette étude nous nous sommes intéressés à l’évaluation de l’impact des nanoparticules de silice fumée (SiO2) sur un organisme bioaccumulateur, bioindicateur de pollution de l’environnement et un indicateur d’état sanitaire des sols, le gastéropode Helix aspersa suite à une exposition via la nourriture. La toxicité des NPs de silice est déterminée chez l'escargot Helix aspersa grâce aux expérimentations réalisées au sein du laboratoire sur des escargots partagés en quatre lots : un lot considéré comme témoin et trois autres traités par des doses croissantes de nanoparticules de silice fumée de 250, 500 et 750 µg/g de nourriture (farine de blé) pendant quatre semaines. Le stress oxydatif a été évalué par le biais d’un suivi de l’activité de certains biomarqueurs biochimiques et enzymatiques : GSH, GST, GPx et CAT dans les tissus hépatopancréatiques et rénaux et un dosage des protéines totales a également été effectué. Les résultats obtenus montrent que la présence des nanoparticules de silice dans la nourriture de H. aspersa provoque des modifications des paramètres testés dont une augmentation du taux des protéines totales. Nos données révèlent une diminution du taux du GSH ainsi que de l’activité de la CAT et de la GPx, parallèlement à l’observation d’une augmentation de l’activité de la GST au niveau de l’hépatopancréas et du rein. Les perturbations notées sont relativement plus significatives au niveau de l’hépatopancréas qu’au niveau du rein. Nos résultats montrent un état de stress oxydatif chez H. aspersa exprimé par le déclenchement du système de lutte contre le stress oxydatif à travers les biomarqueurs de cette réaction métabolique.

Résumé: Le but de l'étude est d'inventorier les lichens (corticoles, saxicoles et terricoles) du secteur de Tikjda, dans le Parc National du Djurdjura (PND) qui comprend des cédraies pures, et une réserve de Pinus nigra ssp. Mauretanica (espèce endémique de pin noir). Les résultats montrent qu'il existe 70 taxons répartis en 10 ordres, 21 familles et 39 genres. Les familles les plus riches sont celles des Collemataceae et des Physciaceae avec 9 taxons et 5 genres chacune, notamment deux espèces rares : Bryoria fuscescens (Gyeln.) Brodo & D.Hawksw, rencontrée dans une seule station et sur un seul phorophyte : Cedrus atlantica et Leptogium cyanescens (Nyl, ex Crombie) Degel, nouvelle espèce non encore signalée en Algérie

Résumé: In the Mediterranean region, Edough Peninsula (Algerian Northeast) has a significant procession of rare plant species biogeographical interest. This communication is based on specimens collected by the author during the realization of a lichen herbarium when her attention was attracted by the striking presence of a fruticose lichen of Usnea genus, on a hawthorn at the entrance of a private neglected garden. One of the harvested species proved to be after identification, Usnea glabrescens (Vainio) Vainio sens. Lat. A second species was harvested meanwhile a few meters away, on a cork oak and identified as Usnea cornuta Körber species ever recorded in Algeria before.

Résumé: L'état fonctionnel des membranes peut se dégrader sous l'effet de certaines contraintes liées à l'environnement tel que la chaleur ou le froid. Des coupes transversales dans les feuilles et les racines ont permis de comparer l'intégrité membranaire par le biais d'une étude histologique des plantes stressées à 10°C (du stade une feuille jusqu'au stade deux feuilles) et à 40°C (soufflerie d'air chaud huit heures de temps trois jours consécutifs au stade deux feuilles). L'étude a révélé que le froid au niveau des feuilles, altère l'épiderme dorsal; et au niveau des racines, la chaleur comme le froid provoque une perturbation de l'épiderme qui perd de son entité ainsi que le parenchyme médulaire qui semble d'ouvrir sur une grande lacune.

Résumé: Il existe de nombreuses indications chez les végétaux d'un potentiel génétique considérable pour la tolérance aux stress environnementaux. La connaissance de la variabilité intraspécifique que les plantes manifestent pour la tolérance au stress thermique, permet d'envisager la sélection de génotypes résistants. C'est pourquoi deux critères physiologiques ont été utilisés en l'occurrence le taux de la turgescence relative des feuilles et le taux de déperdition d'eau des feuilles excisées, dans le but d'une discrimination entre les génotypes pour la résistance aux stress thermiques à la chaleur.

Résumé: Huit génotypes de blé dur à différents stades phénologiques (stade: quatre feuilles, six feuilles et feuille étendard) ont servi pour l'étude de l'impact d'un stress thermique à la chaleur sur trois traits biochimiques en l'occurrence l'accumulation des sucres solubles, d la proline et des protéines totales. Il a été remarqué l'accumulation des osmoticums (proline te sucres solubles) augmente avec la sévérité du stress et ce à tous les stades phénologiquesvétudiés mais également une accumulation des protéines totales pour certains génotypes étudiés et éventuellement une production de protéines de choc thermiques)

Résumé: Du semis jusqu'à l'épiaison, le blé est soumis aux conditions environnementales notamment les températures, aussi bien la chaleur que le froid. A cet effet, huts génotypes de blé dur ont servi pour l'évaluation de l'effet d'une basse température non gélive (10°C)sur la physiologie des plantes. A la lumière des résultats obtenus, il a été constaté un ralentissement de la croissance des plantes sous l'effet du froid, cette sensibilité s'amenuise après l'apparition de la première feuille. Cependant, le froid n'a pas le même effet sur les racines mais seulement sur le poids de la partie aérienne des plantes stressées.

Résumé: Comme il est illusoire de vouloir créer des variétés adaptées à toutes les zones climatiques et la sélection doit se faire pour chaque zone, l'étude menée a tenté de repérer déjà à un stade précoce parmi les génotypes étudiés ceux qui peuvent résister à un choc thermique au froid (10°C) et à la chaleur (40°C). Pour ce il a été dosé la teneur en protéines totales au niveau des feuilles ainsi que l'intégrité membranaire de ces mêmes génotypes.